21 Juin 2025 – Beyoncé : Cowboy Carter Tour – Stade de France, Paris (2025)
C’est la dernière ligne droite pour moi : quatrième compte-rendu d’affilée. Je crois que c’est la première fois en presque 20 ans de blog que j’enchaîne quatre articles comme ça 😱 Mais bon, vous n’êtes pas là pour m’entendre râler, vous êtes là pour Beyoncé. Un peu de contexte. Beyoncé est actuellement en tournée mondiale avec l’album « Cowboy Carter ». Moi, j’avais adoré « Renaissance » et la tournée associée. Mais là… j’étais moins chaud. Le disque est super bien produit, mais il ne m’a pas vraiment touché. Je n’étais donc pas sûr de vouloir assister au show. Et vu qu’à New York, les prix étaient indécents, j’ai laissé passer l’occasion.
Puis j’ai fini par me laisser embarquer. En Europe pour un déplacement pro, boosté par ABBA Voyage, Le Diable s’habille en Prada et Indochine, j’ai voulu faire le grand chelem. Ticketmaster a remis en vente quelques places en visibilité réduite à prix cassés. Résultat : 68 €, dernier rang de la catégorie or. Plutôt correct. Le piège ? Ce genre de place est située sous la deuxième couronne des gradins. Au-dessus de vous : un plafond. Mais honnêtement, la vue était bonne. En revanche, le son… un désastre ☠ Je ne sais pas si c’est dû à l’acoustique du Stade de France, à mon emplacement, ou aux deux, mais c’était franchement pas ça. Malgré tout, je ne regrette pas. 68 € pour Beyoncé, ça reste un bon deal. Et je suis bien content de ne pas avoir claqué 500 $ pour aller la voir à New York – même si, je dois l’admettre, les conditions auraient sûrement été bien meilleures pour apprécier le show.
Je ne vous ai pas dit, mais on est le 21 juin ! C’est la fête de la musique en France. Et franchement, fêter ça avec Beyoncé et 90 000 personnes, difficile de faire plus symbolique. J’arrive au Stade de France aux alentours de 20 h, après un trajet absolument atroce sur la ligne 13, bondée comme jamais. Il fait chaud, très chaud, et je n’avais aucune envie d’arriver trop tôt pour poireauter des heures en plein cagnard. À l’entrée, on nous distribue des bracelets lumineux siglés Cowboy Carter. En m’installant, je réalise que certaines personnes autour de moi ont payé près de 300 € pour être sur le côté de la scène, avec une visibilité franchement médiocre. Certains ne doivent même pas voir correctement l’écran principal 😬 Autour de moi, j’entends parler italien, allemand… et tout le monde a sorti son petit chapeau de cow-boy !
Depuis ma place, heureusement, la scène est visible dans son intégralité. On retrouve un écran géant comme sur le Renaissance World Tour, mais au lieu d’une découpe circulaire, c’est un triangle qui s’inscrit dans une étoile stylisée. La scène s’étend avec un long catwalk en flèche et deux bras latéraux. C’est massif, et malgré l’énormité du lieu, l’installation impressionne. Il n’y a pas de première partie. Et pour une fois, je ne vais pas vous dire que “les lumières s’éteignent” : le soleil brille encore franchement sur le Stade de France, et il va falloir composer avec 🫠
Il fait encore grand jour quand « AMERIICAN REQUIEM » démarre. Une dizaine de danseurs débarquent sur scène, habillés de pied en cap en doré : bottes, pantalons, vestes, chapeaux. Je comprends assez vite que le son va être une purge. Les basses sont beaucoup trop fortes, ça résonne de partout, et les gens autour de moi hurlent comme des porcs. Je n’avais pas ressenti cette sensation d’étouffement depuis le concert des Black Eyed Peas au même endroit, il y a plus de dix ans. Et croyez-moi, c’était un cauchemar. L’écran s’allume et s’ouvre sur Beyoncé. Elle porte une tenue blanche très structurée, imprimée paisley argenté façon bandana, avec des découpes au niveau des hanches et des franges westerns sur les côtés. Un chapeau de cowgirl argenté complète ce look d’ouverture. Elle est rejointe ensuite par une bonne vingtaine de danseurs, tous habillés de la même façon. Autour de moi, les gens ne chantent pas : ils braillent 😩 Et je me demande sincèrement comment les Français font pour connaître les paroles de cet album par cœur – surtout pour ce titre, qui n’est même pas parmi les plus streamés. Ça m’a un peu scié.
Elle salue rapidement la foule et enchaîne avec « Blackbird ». À la fin du morceau, l’écran affiche une image immense : une sorte de Vierge Marie voilée de blanc, debout devant un drapeau américain. Beyoncé enchaîne alors avec « The Star‑Spangled Banner », qu’elle transforme en vocalise sur fond vidéo rouge sang, entrecoupé de symboles patriotiques. Puis vient un court extrait de « Freedom » – un titre que j’adore – mais comme le son est toujours aussi mauvais, je n’arrive pas à en profiter 😅 Ensuite, c’est l’un des titres les plus attendus de la soirée, « YA YA / Why Don’t You Love Me ». Et là, ça y est, on tient enfin un vrai tableau marquant. Elle commence à faire clapper les mains du public… qui ne suit pas le rythme, probablement parce que chacun entend une version différente du morceau selon sa position dans le stade. Elle descend ensuite sur l’avancée de scène pour rejoindre les Twins.
Pendant ce temps, tout l’orchestre apparaît en fond, installé sur une structure roulante. Elle revient alors au centre de l’étoile, s’assoit devant un piano en feu. Ce que je n’avais pas ressenti aussi fort sur Renaissance, c’est cette impression de concert pensé avant tout pour la captation vidéo. À ce moment-là, elle est entourée d’au moins six ou sept techniciens, et il y a une dizaine de caméras autour d’elle. Certes, les images sur l’écran sont splendides. Mais quand elle passe son temps à chanter face caméra, on finit par avoir l’impression d’assister à un tournage plutôt qu’à un concert. Et peut-être que je le ressens d’autant plus que je suis en gradins, donc super loin de l’action.
Elle relance ensuite le refrain de « YA YA ». Elle lance un regard de dépit aux spectateurs qui ne reprennent pas les ya ya correctement. Une fois ce petit tralala terminé, elle s’installe sur un fauteuil doré au centre de la scène. Un robot s’approche, lui sert un verre de whisky, puis les deux disparaissent en étant littéralement aspirés par la plateforme.
Premier interlude. À l’écran défilent des images d’archives d’artistes noirs américains, entrecoupées de séquences stylisées de Beyoncé et de vidéos d’actualités glitchées. Le tout annonce l’arrivée de « AMERICA HAS A PROBLEM », sur laquelle elle apparaît derrière un podium, façon discours politique. J’adore cette chanson, et je suis ravi qu’elle ait inclus quelques titres de « Renaissance » dans cette setlist. Pour ce tableau, elle porte un manteau oversize en cuir, imprimé façon “une de journal” – noir, blanc, rouge – avec des slogans politiques en surimpression. En dessous, un body assorti, dans le même motif, et un chapeau de cowgirl noir métallisé pour compléter le look. Visuellement, c’est très fort. Malheureusement, il fait toujours jour, donc l’effet des lumières tombe un peu à plat… mais c’est aussi à ce moment-là que Blue Ivy fait sa première apparition. Elle arrive pour un court break dance qui déclenche l’hystérie immédiate dans le stade.
Beyoncé enchaîne avec « SPAGHETTII » que le public connaît encore par cœur. De mon côté, comme elle reste dans l’écran, je ne vois quasiment rien en direct. Je me contente des écrans géants, sans vraiment pouvoir profiter du tableau. En revanche, je profite un peu plus de « Formation », que vous pouvez retrouver en vidéo à la fin de l’article. C’est un beau moment de groupe, mais toujours en plein jour. En tout cas, personne autour de moi ne semble dérangé par ça, donc tout va bien. Elle enchaîne ensuite sur « MY HOUSE », qui reste pour moi l’OVNI de la setlist 🤔 Je ne connaissais pas cette chanson. J’ai appris après coup qu’il s’agissait d’un inédit, sorti en même temps que le « Renaissance World Tour » version cinéma. J’étais complètement passé à côté. Et ce que je ne m’explique toujours pas, c’est comment les gens autour de moi peuvent connaître les paroles par cœur. Mais dans le stade, tout le monde chantait ! Tableau plutôt joli d’ailleurs, avec une maison rouge projetée à l’écran, et Beyoncé très énergique, entourée de ses danseurs. C’est un passage qui rend bien ! Elle remonte ensuite toute l’avancée de scène et se retrouve à la pointe pour « Diva ».
Je dois quand même l’avouer : le début du concert est compliqué pour moi. Je n’arrive pas à rentrer dedans ☹ Le son est pourri, tout le monde chante à tue-tête, et pour l’instant, j’ai pas aimé grand-chose. Deuxième interlude de la soirée. On bascule dans un univers Far West avec, encore une fois, des images très stylisées. L’une d’elles montre Beyoncé allongée sur un alligator, ce qui annonce évidemment « ALLIIGATOR TEARS ». J’ai l’impression qu’ils ont enfin un peu arrangé les problèmes de son. C’est vraiment la première chanson où je l’entends chanter correctement. Ou alors le public a simplement arrêté de hurler. Difficile à dire. Elle la chante au centre de la scène, sobrement, avec un pied de micro. Elle porte une nouvelle tenue : robe courte cintrée en tartan bleu, chapeau noir et bottes blanches décorées de flammes rouges. Un look rodéo très stylisé. Elle enchaîne avec « JUST FOR FUN » et « PROTECTOR », qui marque la première apparition de sa fille Rumi sur scène.
Il s’agit d’une sorte de pyramide humaine, toute la troupe est habillée couleur chair. Blue est là aussi. Rumi, elle, a l’air de vouloir être ailleurs. Pas un sourire. Mais apparemment, quelqu’un a réussi à lui arracher une mini-réaction avec une peluche Stitch… ce que je n’ai vu qu’après sur Instagram 😅 S’ensuit un court interlude avec des images d’archives de ses enfants, quand ils étaient plus petits. Pendant ce temps, Beyoncé remonte tranquillement l’avancée de scène. Et là, démarre « FLAMENCO ». Dans mes notes, j’ai littéralement écrit : « il fait encore jour BORDEL DE MERDE ». Et pourtant, c’est l’un de mes tableaux préférés du concert. C’est un très joli morceau, qu’elle interprète au bout de l’avancée avec trois de ses choristes. À la fin, l’une des danseuses propose une séquence solo, entre flamenco stylisé et danse irlandaise. Je ne saurais pas vous dire exactement ce que c’était… mais ça fonctionnait 🥰
Nouvel interlude sur le thème des cow-boys, avec une séquence franchement jolie où l’on voit Beyoncé manier le lasso à la perfection. L’écran s’ouvre ensuite sur un coucher de soleil stylisé pour introduire « DESERT EAGLE ». Elle porte une nouvelle tenue : body doré aux reflets métalliques, hyper moulant, et des manches longues en cuir marron. Elle porte aussi des bottes scintillantes à poils dorés qui ajoutent une touche disco-funk. Il y a quand même quelques titres sur cet album qui sont, objectivement, un peu boring. Heureusement, elle enchaîne avec une partie plus inspirée : « RIIVERDANCE », très cool, avec une chorégraphie superbe et de vraies flammes qui jaillissent sur scène. La chanson fonctionne bien. Puis viennent « II HANDS II HEAVEN » et « TYRANT », qu’elle chante de retour sur la scène principale.
Comme vous pouvez le voir sur ma vidéo YouTube, le soleil n’est toujours pas totalement couché. Il doit être autour de 22 h 30. Elle grimpe alors sur un taureau mécanique doré. J’aime beaucoup cette chanson, et le tableau est visuellement très réussi… mais pas autant que « THIQUE », mon moment préféré de la soirée. Déjà, j’adore ce morceau – que je n’avais pas eu sur la tournée précédente. Mais surtout, elle le fusionne avec « Bills, Bills, Bills », dont elle reprend la chorégraphie du clip… dans un salon de coiffure recréé sur scène. C’est pour moi la meilleure idée de toute la soirée ! Elle poursuit avec « LEVII’S JEANS » qu’elle interprète au bout de l’avancée, assise dans un fauteuil en forme de bouche rouge, avant de conclure le segment avec un medley « SWEET ★ HONEY ★ BUCKIIN’ / PURE/HONEY / SUMMER RENAISSANCE ». C’est très cool, très dansant, et je me dis que j’aurais adoré voir ce passage en pleine nuit. On commence à voir les jeux de lumière : il y a des lasers… et surtout, les bracelets lumineux qu’on nous a donnés à l’entrée se mettent à clignoter. Il était temps 🙏 Mais en même temps, on est le 21 juin, le pire jour de l’année en termes d’ensoleillement. Kevin, what did you expect?!
Nouvel interlude vidéo : Beyoncé se transforme en sorte de Godzilla du Far West. Elle apparaît gigantesque, dominant une ville réduite à une maquette. Et nous voilà arrivés au Texas. L’écran s’ouvre sur une plateforme en forme de gros camion, genre truck américain version XXL. Les danseurs apparaissent, certains juchés sur le véhicule, et le tableau démarre avec « TEXAS HOLD ’EM » (la vidéo est dispo sur ma chaîne YouTube). Beyoncé porte une robe rouge fendue à imprimé bandana, avec des cuissardes argentées. C’est franchement moche 😆 S’ensuit une séquence un peu plus nostalgique : un long medley où elle enchaîne « Crazy in Love », « Single Ladies », « Love on Top », « Irreplaceable » et « If I Were a Boy ». Et honnêtement ? C’est un super moment. À la base, j’étais en mode “on peut s’en passer des tubes”… mais en vrai, c’est bien de les avoir. LOL.
Elle poursuit avec « Jolene » et s’avance jusqu’au bout du catwalk, où un fer à cheval géant descend du ciel. Elle grimpe dessus pour effectuer un tour du stade en hauteur. Elle survole toute une partie de la fosse. C’est plutôt cool, même si je suis un peu surpris par la vitesse du machin, heureusement qu’elle est bien accrochée. Elle enchaîne avec « Daddy Lessons », « BODYGUARD » et « II MOST WANTED », qu’elle interprétait quelques jours plus tôt avec Miley Cyrus. Puis elle remonte sur le fer à cheval, qui la transporte jusqu’à l’une des plateformes VIP situées dans le public. C’est là qu’elle chante « CUFF IT », super sympa à réentendre dans ce contexte. Le fer à cheval la ramène ensuite sur la scène principale pendant « HEATED ». Et je dois dire que, depuis le début du concert, ce sont vraiment les morceaux de Renaissance qui me plaisent le plus. Ça me parle plus. Ça sonne mieux., même en plein jour, même avec ce son pourri 🤣
Après une courte pause, elle réapparaît dans une robe hyper bouffante – tout l’inverse des tenues qu’elle portait jusque-là. On comprend vite le concept : c’est une robe en LED. Elle interprète « DAUGHTER », et l’effet visuel est sublime 🤩 Les animations projetées sur la robe se prolongent au sol, créant un véritable tableau vivant. Je pense que c’est un moment qu’on ne peut vraiment apprécier qu’en gradins, avec de la distance. Pour ma part, je trouve la chanson assez quelconque… mais la mise en scène est magnifique. On enchaîne ensuite avec le segment Renaissance World Tour. Beyoncé reprend presque à l’identique certains tableaux que j’avais adorés sur la tournée précédente. Et je suis bien content qu’ils arrivent en fin de spectacle, alors qu’il fait enfin nuit – on peut vraiment profiter des lumières.
Elle apparaît perchée sur un cheval doré dans une sorte de structure mécanique dorée, mi-armure, mi-installation futuriste, façon exosquelette baroque. « I’M THAT GIRL » démarre. C’est over the top. Et on adore ! En dessous, elle porte une nouvelle tenue, sans doute l’une des plus belles de la soirée : body doré scintillant, entièrement orné de strass, avec manches longues et bottes assorties. Elle enchaîne avec « COZY ». Les robots et leurs cadres sont de retour – c’était tellement iconique sur le RWT, c’est génial de pouvoir revoir cette séquence. C’est l’un de mes moments préférés du show, même si c’est copié-collé de la dernière tournée !
Elle enchaîne ensuite avec « ALIEN SUPERSTAR », dans sa fameuse tenue-couette géante, réinterprétée ici en or (on l’avait eue en argent sur la tournée précédente). La transition entre les deux titres est d’une fluidité impressionnante. On a ensuite droit à une mini ballroom battle, et c’est presque dommage que ça arrive aussi tard dans le spectacle, parce que c’est vraiment fun. L’icône Honey Balenciaga est là, et elle nous régale. Blue revient sur scène pour un petit segment dansé sur « Déjà Vu ». C’est mignon, bien intégré, et ça laisse le temps à sa mère d’aller se préparer pour le final.
Elle réapparaît au volant d’une voiture volante rouge pour « 16 CARRIAGES ». Elle survole à nouveau la foule, comme elle l’avait fait plus tôt sur le fer à cheval. L’effet est très réussi, et le tableau fonctionne bien comme conclusion. Pour ce dernier segment, elle porte une robe drapée aux couleurs du drapeau américain. Après ses remerciements, elle termine le concert sur « AMEN ». Tous les danseurs portent eux aussi des tenues aux couleurs du drapeau. Sur scène, le buste masqué de la Statue de la Liberté est comme sorti de terre. Un tableau très symbolique pour conclure ce spectacle, accompagné d’un lâché de confettis en guise d’au revoir.
Soyons clairs : ce que j’ai ressenti pendant ce concert n’est pas forcément dû à la performance de Queen B. Le son de mon côté était absolument horrible, et le concert s’est déroulé majoritairement en plein jour, ce qui a clairement ruiné une partie de mon expérience 😕 Sur le show en lui-même, on reste sur un format comparable au Renaissance World Tour, avec un nouveau thème, mais une structure assez proche. Et ce thème, justement, parlons-en. Je n’aimais pas l’album, mais j’étais curieux. J’avais vu la setlist, que je trouve très couillue au passage, et je m’étais dit : “Qui sait, peut-être que le live me le fera aimer !” Résultat ? Non 😆
En revanche, rien à dire sur la production : c’est d’un niveau exceptionnel. La mise en scène est propre, dense, bien pensée. Les costumes sont variés, cohérents avec chaque tableau, et Beyoncé est une machine de guerre. Physiquement, vocalement (je ne sais pas ce qui est live ou pas, mais le rendu est constant), artistiquement… elle fait le job. Certains tableaux sont vraiment marquants : « THIQUE » en mashup avec « Bills, Bills, Bills », le segment « Alien Superstar », le tour en voiture volante sur « 16 CARRIAGES », ou encore le medley des tubes. Ces moments-là, je les ai vraiment appréciés. Je pense que si j’avais vu le même spectacle dans d’autres conditions, mon ressenti aurait été différent. Quoiqu’il en soit, je suis content de l’avoir vue et je prie pour que l’acte 3 soit un truc un peu plus dans mes cordes 😅
On termine avec les photos et les vidéos de la soirée. Vous y étiez aussi ? Vous en avez pensé quoi ? Dites-le-moi en commentaire ou sur les réseaux (Facebook, X et Instagram). Et si l’article vous a plu, vous pouvez découvrir les autres articles consacrés à #Beyoncé.
Setlist : AMERIICAN REQUIEM / Blackbird / The Star-Spangled Banner / Freedom / YA YA / Why Don’t You Love Me / AMERICA HAS A PROBLEM / SPAGHETTII / Formation / MY HOUSE / Diva / ALLIIGATOR TEARS / JUST FOR FUN / PROTECTOR / FLAMENCO / DESERT EAGLE / RIIVERDANCE / II HANDS II HEAVEN / TYRANT / THIQUE / LEVII’S JEANS / SWEET ★ HONEY ★ BUCKIIN’ / PURE/HONEY / SUMMER RENAISSANCE / TEXAS HOLD ‘EM / Crazy in Love / Single Ladies (Put a Ring on It) / Love on Top / Irreplaceable / If I Were a Boy / Jolene / Daddy Lessons / BODYGUARD / II MOST WANTED / CUFF IT / HEATED / DAUGHTER/ I’M THAT GIRL / COZY / ALIEN SUPERSTAR / 16 CARRIAGES / AMEN
Également disponible en vidéo sur YouTube : YA YA / Why Don’t You Love Me – Formation – TYRANT / THIQUE – TEXAS HOLD ‘EM