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Indochine : Arena Tour – Accor Arena, Paris (2025)

par Kéké
dans Articles, Concerts
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Indochine : Arena Tour - Accor Arena, Paris (2025)

18 Juin 2025 – Indochine : Arena Tour – Accor Arena, Paris (2025)

On ne présente plus Indochine ! En 2025, le groupe est en pleine tournée pour défendre « Babel Babel », son nouvel album, avec plus de 100 dates prévues et un million de billets écoulés 👏 40 ans après leurs débuts, ils continuent de remplir les salles avec la même ferveur, si ce n’est plus. C’est impressionnant à voir ! Comme beaucoup de gens de ma génération, je les ai découverts avec « J’ai Demandé À La Lune », en 2002. J’ai commencé à les suivre doucement, puis je les ai vus pour la première fois en 2009 avec le « Météor Tour », dont je garde un excellent souvenir. Depuis, je les ai revus plusieurs fois, mais forcément, en vivant aux États-Unis, je n’ai plus eu l’occasion de les applaudir. Le hasard a bien fait les choses : j’étais à Paris pile au moment de leur passage à Bercy. C’était l’occasion rêvée de renouer avec eux sur scène. D’autant que l’album est plutôt réussi.

Je ne vais pas vous mentir : retourner à Bercy après toutes ces années m’a fait un drôle d’effet. Le dernier concert que j’ai vu dans cette salle, c’était Mariah Carey pour son « All I Want For Christmas Is You Tour » en 2017. J’ai eu l’impression de remonter à une autre époque ! Comme j’ai trouvé une place à la dernière minute, je me suis retrouvé au dernier rang de la catégorie 1, mais pile en face. C’est loin, mais c’est toujours le meilleur angle pour apprécier la scénographie, et cette fois encore, ça valait le coup. Fidèle à mes habitudes, j’ai fait l’impasse sur la première partie. Je ne sais même pas qui jouait avant Indochine, je suis arrivé une dizaine de minutes avant le début du concert. À l’entrée, on m’a remis un bracelet lumineux. Rien de très original : on a déjà vu ça partout, surtout chez Coldplay qui en a fait sa marque de fabrique. Pour l’instant, l’écran géant affiche la pochette de « Babel Babel », la scène comprend une avancée classique, et le plafond de la salle est entièrement couvert de petites LED. Je suis curieux de voir ce que ça va donner ! 👀

Indochine : Arena Tour – Accor Arena, Paris (2025)

Les lumières s’éteignent, le logo de la tournée s’affiche en rose sur l’écran avec la date du jour : 18 juin 2025. Puis tout se dérègle. L’image se met à glitcher, comme si le système saturait. L’introduction démarre vraiment : une suite d’extraits de journaux télévisés du monde entier défile à toute vitesse. Le rendu est assez étrange, on dirait de l’IA. Dans l’une des vignettes, on aperçoit Macron en train de parler de la réforme des retraites, ce qui déclenche immédiatement une belle vague de huées dans la salle. L’écran se brouille complètement, puis s’éteint. Indochine entre en scène. Le concert s’ouvre sur « Babel Babel ». Il faut savoir que la setlist change chaque soir – certains titres tournent, d’autres restent fixes – et selon la soirée sur laquelle on tombe, on n’a pas le même début. Moi, à la base, je voulais l’autre intro. Mais en voyant celle-ci, je me suis dit que j’étais plutôt bien tombé !

Les visages des membres du groupe apparaissent en noir et blanc sur l’écran géant, qui se prolonge au sol jusque sur l’avancée. Les premières notes de Nicola Sirkis sont franchement fausses. Et ça m’a fait sourire. Il n’en met pas une !! La transition visuelle vers le morceau suivant reprend le visuel de l’affiche : les silhouettes du groupe, posées sur une ville illuminée. « L’amour  Fou » révèle tout le potentiel de la scénographie. Les confettis explosent, les bracelets lumineux s’activent, et le plafond entier de la salle s’illumine. L’idée est toute simple, mais l’effet est incroyable. Avoir ces petits points lumineux dans tout Bercy, du sol au plafond, donne une ampleur folle à l’ensemble. L’ambiance dans la salle est excellente. Et je dois dire que ça fait du bien de retrouver le public français, beaucoup plus concentré et investi que le public américain !! 😁

Indochine : Arena Tour – Accor Arena, Paris (2025)

Le groupe enchaîne avec « Victoria », l’un des meilleurs titres de l’album. En live, ça fonctionne à merveille. La scénographie alterne entre éclairs fluo et vidéos d’arrière-plan qui montrent une armée de trompettistes. C’est graphique, c’est visuel, c’est très réussi. Un de mes moments préférés du spectacle. Puis vient « Le Chant Des Cygnes ». Grosse surprise sur l’accueil réservé au morceau : la salle explose, les gens chantent à tue-tête, certains sautent comme si c’était un tube historique. Moi qui adore cette chanson, j’étais ravi. Le groupe poursuit son exploration de l’album avec « La Belle Et La Bête ». À l’écran, des gymnastes au ralenti, accompagnés par nos fameux trompettistes, mais transformés en singes. Nicola me fait un peu de peine – le pauv’ vieux remonte l’avancée de scène en trottinant péniblement, avec sa coupe façon Catherine Lara, tout en essayant de faire taper des mains au public… qui évidemment ne tape pas en rythme. C’est horrible et génial à la fois 🤣

Il prend la parole pour remercier le public. J’avais d’ailleurs oublié à quel point il zozotait. Il explique qu’ils ont appris le jour même qu’ils avaient dépassé le million de billets vendus et qu’ils allaient faire neuf concerts à Bercy. C’est quand même assez dingue ! Il s’installe au piano pour « Sanna Sur La Croix ». Je ne suis pas un grand fan du morceau, mais je dois reconnaître que l’album rend vraiment bien sur scène. L’écran affiche des portraits de Sanna Marin, l’ancienne Première ministre de Finlande. Les images sont sobres, en noir et blanc, avec un regard frontal, presque accusateur, qui dénonce le traitement sexiste qu’elle a subi. Les effets de lumière sont superbes : des faisceaux blancs balayent toute la salle, y compris le public et le plafond. Ça donne l’impression qu’on fait tous partie du tableau. Vous pouvez voir ça dans la galerie photo, c’est vraiment bien pensé.

Indochine : Arena Tour – Accor Arena, Paris (2025)

« Annabelle Lee » suit, accompagnée d’un montage de visages projetés à l’écran – des personnes disparues, anonymes, envoyées par les fans avant la tournée. Madonna avait fait quelque chose de similaire dans son « Celebration Tour ». Ce qui me fait marrer, en revanche, c’est que chez Indochine, comme chez Mylène Farmer, il y a toujours ces expressions clés qui reviennent. Leurs « chemins de croix » sont à peu près aussi inévitables que son sempiternel « vent d’aimer » 🤣 La suite est un peu plus molle pour moi. « Le Garçon Qui Rêve » et « Girlfriend » passent sans trop me marquer, pendant que les gens devant moi envoient des vidéos du concert sur WhatsApp, avec des messages écrits en taille 72, comme s’ils préparaient une réunion de copropriété ! Oui, je vous juge 👀 Et bon. Je vais peut-être me prendre les foudres des fans, mais on doit parler de la coupe de cheveux de Nicola. Que ce soit une perruque ou ses vrais cheveux, il faut les peigner putain ! On dirait qu’il s’est levé cinq minutes avant le show. Ce look, c’est juste pas possible 😬

L’ensemble du groupe se regroupe au bout de l’avancée de scène pour un petit set au cœur du public. C’est l’occasion de les voir d’un peu plus près, et de changer légèrement l’énergie du concert. On quitte les titres du nouvel album pour plonger dans le répertoire plus classique du groupe. Ça commence par « Salômbo ». Je ne connaissais pas du tout ce morceau. L’intro visuelle est superbe : des volutes de fumée multicolore s’élèvent sur l’écran, accompagnées de voix aux accents moyen-orientaux. Et là, le public reprend en chœur cette phrase lunaire : « Et Salômbo au Pakistan ! » 😅 Jamais je n’aurais imaginé qu’un jour Indochine avait écrit ça. Mais la mise en scène est soignée, la lumière qui se diffuse dans toute la salle avec les guirlandes au plafond et les bracelets qui clignotent renforce l’effet : c’est chouette.

Indochine : Arena Tour – Accor Arena, Paris (2025)

Je parlais de setlist tournante en début d’article, et s’il y a bien un titre que je regrette de ne pas avoir eu, c’est « Belfast ». J’adore cette chanson. Mais on a eu « Popstitute » à la place, ce qui me console largement. J’adore l’énergie de ce titre, et l’ambiance dans la salle était dingue. Les guitares rugissent, le bout de l’avancée est criblé de lumière. Visuellement et musicalement, c’est très fort. J’ai tout autant adoré « Canary Bay » et « Miss Paramount », qui exploitent à fond le potentiel de la mise en scène. Les lumières clignotent dans tous les sens, et le résultat est franchement réussi. Nicola a l’air de s’éclater sur scène, et ça fait plaisir à voir. Il lève les bras, fait participer le public, sourit, bouge. Je le trouve vraiment en forme sur cette tournée, même si je me moque un peu de lui. Il y a des confettis, du rose fluo, une énergie continue. On sent qu’il veut faire plaisir au public avec un set qui pioche dans toutes les époques. Et je dois l’admettre : je passe un très bon moment.

Il attrape sa guitare acoustique et fait reprendre au public des « oooh oooh » aussi faux que les siens. C’est l’intro de « Punker », qui fonctionne super bien en live. À l’écran, on voit les images d’une ville fluo défiler pendant que les faisceaux lumineux tournent dans la salle, toujours accompagnés des bracelets. Il remercie à nouveau le public, puis annonce : « D’un simple claquement de doigts, j’éteins tout le monde ! ». Et ensuite, il fait s’allumer les gradins, puis la fosse grâce aux bracelets. Le jeu de lumière fonctionne à merveille, et le rendu est saisissant. Le groupe enchaîne ensuite avec « J’ai Demandé À La Lune ». Je n’ai jamais aimé cette chanson, et je ne l’aime toujours pas. À part dire que j’ai été soulagé quand elle s’est terminée, je n’ai rien à ajouter 😎

Indochine : Arena Tour – Accor Arena, Paris (2025)

Il repère ensuite plusieurs drapeaux dans la salle : Canada, Pérou, Mexique. Il en remarque un qu’il n’arrive pas à lire. Il semble dire « Jusqu’en 2033 », ce qui n’a pas l’air de l’enchanter. Il commente en rigolant qu’ils parlent déjà de retraite… Il annonce un titre « ancien, mais pas trop ». Je ne m’attendais pas du tout à entendre celui-là, et j’étais ravi : « Little Dolls ». C’est l’un de mes préférés. La version live est puissante, bien menée. Seul petit regret : la retransmission vidéo sur l’écran est toujours trop filtrée : couleurs fluo, saturation, noir et blanc, plans ultra-serrés… On ne profite jamais vraiment de leurs visages. Ça reste un détail, mais ça m’a un peu frustré.

Le drapeau français s’affiche ensuite en plein écran, ce qui annonce forcément « Un Été Français ». Je ne m’attendais pas non plus à l’entendre ce soir, donc j’étais ravi. L’ambiance était géniale, et les lumières tricolores projetées dans la salle renforçaient vraiment le moment. On enchaîne avec un court interlude visuel, façon boîte à musique, avec des images un peu flottantes. On ne comprend pas trop ce qu’on regarde, jusqu’à ce que le riff de guitare de « Alice & June » explose dans toute la salle. L’effet est immédiat, et ça reste l’un des grands moments du show. Ce que je trouve incroyable, c’est qu’un peu comme Mylène Farmer, Indochine a réussi à décrocher des tubes à chaque décennie. Et quand je vois la réaction du public sur « Alice & June », je me dis que le morceau est devenu un vrai classique de leur répertoire. L’écran explose de rose fluo et d’images saturées.

Indochine : Arena Tour – Accor Arena, Paris (2025)

Ils enchaînent avec « La Vie Est À Nous ». Nicola explique que c’est le moment du concert où ils font monter des volontaires pour taper sur des boîtes en fer. Effectivement, des gens grimpent sur scène pour frapper à l’unisson sur de gros bidons. Je ne me souvenais plus trop de la chanson, mais j’ai trouvé ça hyper sympa d’impliquer le public à ce point. Juste après, gros noir dans la salle. Une pause bien méritée pour que le groupe se change et reprenne son souffle. Le concert repart avec des sortes de voix grégoriennes. C’est l’intro de « Nos Célébrations », un titre sorti il y a quelques années pour accompagner leur best of, et qui est construit comme un pot-pourri de leur discographie. Je suis à peu près certain qu’il y a un « chemin de croix » qui traîne quelque part dans les paroles 😆 Sur l’écran, les images alternent entre captation live et séquences animées tirées du clip de l’époque, que je n’avais jamais vu. Ce qui m’a surpris, c’est que le public la connaît par cœur.

Mais le vrai grand moment du concert arrive maintenant, avec « Des Fleurs Pour Salinger ». L’arrangement live est dingue, très club. Le light show transforme la salle en boîte de nuit géante. Sur l’écran, une fleur psychédélique pulse en boucle pendant que les percussions et le gimmick électronique montent en tension. Nicola chauffe la salle petit à petit, jusqu’à l’explosion. Et là, tout éclate : confettis, lumière multicolore sur l’écran, sur les bracelets, au plafond. C’est un déluge. Mon passage préféré du concert, sans hésiter. Il danse comme un fou, lance une petite choré avec les bras en l’air. Sur mes notes d’après concert, j’ai simplement écrit : « génial bordel » 😅 « Trois Nuits Par Semaine » démarre dans la foulée, dans une continuité d’ambiance avec « Des Fleurs Pour Salinger ». C’était génial. Rien d’autre à dire !

Indochine : Arena Tour – Accor Arena, Paris (2025)

Nicola rejoint ensuite une petite scène secondaire, un peu plus loin dans la fosse. Il traverse lentement, touche quelques mains au passage, et s’installe pour un mini-set plus intimiste. Il commence par « Kao Bang » et enchaîne avec « Song For A Dream » que je ne m’attendais pas du tout à entendre. Je suis hyper content. Après ça, il en fait des caisses pour remercier le public – et on l’aime aussi pour ça. Il présente les membres du groupe, avant d’enchaîner sur « Tes Yeux Noirs ». Il la chante en laissant pendre un grand châle autour du cou. Je ne l’avais pas remarqué jusque-là, mais j’imagine que c’était encore un autre hommage discret à une certaine icône à violon et brushing tempête 😂 J’aurais bien aimé entendre « La Vie Est Belle », qu’il joue parfois à cet endroit du set, mais bon… on ne peut pas tout avoir.

C’est le moment du rappel. Un titre n’a toujours pas été joué, et on sait qu’il arrive. Sur l’écran, un visuel s’affiche, qui reprend les codes graphiques de l’album avec une ville en miroir et quelques monuments iconiques comme la tour Eiffel. Des barres noires descendent du plafond, puis crachent des flammes. L’intro de « L’Aventurier » résonne dans toute la salle, accompagnée d’une pluie de confettis. C’est un peu leur « Désenchantée ». On ne s’en lasse pas ! L’ambiance est euphorique, le public est à fond. Le tableau est très réussi, comme toujours avec ce morceau. Je trouve qu’ils parviennent à le réinventer à chaque tournée. Nicola remercie une dernière fois le public, ainsi que toute l’équipe du spectacle. Il précise que ces dates parisiennes marquent la fin de la première partie de la tournée, qui reprendra en octobre. Et ils terminent avec une dernière chanson pour la route : « En Route Vers Le Futur », extraite de « Babel Babel ». Ce que j’ai trouvé super sur ce morceau, c’est que les vidéos projetées derrière eux reprennent en accéléré tous les backdrops vus pendant le concert. Comme un générique de fin. Le groupe quitte la scène pendant qu’un énorme « MERCI » s’affiche sur l’écran.

Indochine : Arena Tour – Accor Arena, Paris (2025)

J’ai passé une super soirée ! C’est probablement le meilleur des 4 spectacles que j’ai pu voir cette semaine. J’étais hyper content de retrouver un groupe que j’adore, et de retrouver aussi le public français qui se comporte quand même beaucoup mieux que le public américain. Ici, on sentait que les gens étaient là pour voir le groupe, pour chanter, pour vivre un bon moment – pas pour manger du poulet frit, boire de la bière ou discuter pendant le show 🙃 Côté setlist, j’ai eu beaucoup de chance. J’ai adoré entendre les titres du nouvel album, notamment « Le Chant Des Cygnes » et « Victoria », mais aussi quelques surprises plus anciennes comme « Little Dolls » ou « Song For A Dream » au milieu des classiques. Et bien sûr, « Des Fleurs Pour Salinger », qui reste pour moi le sommet absolu du concert. Musicalement, c’était très réussi. Malgré les faussetés de Nicola Sirkis (qu’on finit par adopter), le son était très bon, les orchestrations bien pensées, et la setlist super dynamique. Les chansons sont vraiment bien mises en valeur 👍

Côté mise en scène, je dois avouer que j’étais sceptique au départ. En voyant les premières images depuis New York, je trouvais ça cheap : les bracelets lumineux, les guirlandes au plafond… ça sentait le manque de budget. Et finalement, le rendu est canon. L’idée est toute simple, mais elle est intelligemment utilisée ! Les backdrops sont colorés, c’est un concert très fun ! Pour ce qui est de la communication avec le public, rien à redire. Il m’a fait rire tout au long du concert. Son look mi-Catherine Lara, mi-sortie du lit, ses hésitations, ses élans d’émotion… Il ne sait pas trop quoi dire, alors il dit n’importe quoi 😅 Le public était investi, l’ambiance était parfaite, du début à la fin. Je ne sais pas si j’aurai l’occasion de les revoir de sitôt, mais j’aimerais qu’ils envisagent une petite tournée internationale. Un passage à New York, quand même ! Si Maître Gims peut remplir, Indochine devrait pouvoir le faire les yeux fermés.

N’hésitez pas à cliquer sur le hashtag #Indochine pour lire mes autres comptes-rendus, et à me suivre sur les réseaux sociaux Facebook, X et Instagram pour les prochaines publications. On termine avec la galerie photo et quelques vidéos du show : elles vous donneront un bon aperçu et peut-être envie de prendre vos places pour la rentrée 😉

Setlist : Babel Babel / L’amour Fou / Victoria / Le Chant Des Cygnes / La Belle Et La Bête / Sanna Sur La Croix / Annabelle Lee / Le Garçon Qui Rêve / Girlfriend / Salômbo / Popstitute / Canary Bay / Miss Paramount / Punker / J’ai Demandé A La Lune / Little Dolls / Un Eté Français / Alice & June / La Vie Est A Nous / Nos Célébrations / Des Fleurs Pour Salinger / Trois Nuits Par Semaine / Kao Bang / Song For A Dream / Tes Yeux Noirs / L’aventurier / En Route Vers Le Futur

Également disponible en vidéo sur YouTube : Little Dolls – Alice & June – Des Fleurs Pour Salinger

Indochine : Arena Tour – Accor Arena, Paris (2025)

Tags: 2025Accor ArenaArena TourIndochineParis
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