14 Août 2025 – Katy Perry : The Lifetimes Tour – Prudential Center, Newark (2025)
S’il y en a une pour qui 2025 n’est pas de tout repos, c’est bien Katy Perry 😬 Entre la polémique de son single « Woman’s World » et sa collaboration controversée avec Dr. Luke, un voyage spatial qui a fait grincer des dents, des prestations moquées en ligne et un divorce médiatisé, elle a clairement enchaîné les coups durs. J’espère que cette tournée, lancée en avril, lui permet au moins de garder le moral. Je ne l’ai encore jamais vue sur scène et je suis plutôt impatient (surtout que j’ai bien aimé son dernier album « 143 » 😊).
J’arrive pile quand la première partie, Rebecca Black, attaque son set. N’ayant pas spécialement envie de m’infliger ça, je traîne dans les couloirs en attendant la fin. Je ne la vois pas, mais j’ai le son, et c’est franchement atroce 😵💫 Ce qui me choque aussi, c’est le public : que des gamines de 10-12 ans. Je me demande un peu ce que je fous là… Dès que j’entre dans la salle, je me dis wow ! La scène, gigantesque, est en forme de signe infini. Au lieu d’un écran géant classique, c’est une mosaïque d’écrans qui diffusent des extraits de clips et des images du public. Honnêtement, le décor en jette !
Les lumières s’éteignent. Une multitude de lasers viennent graver un signe dans l’écran sur une musique qui rappelle fortement « Derezzed » de Daft Punk (la BO de Tron Legacy). Logique : on est projeté dans un monde virtuel façon jeu vidéo, où une IA a privé la planète de son énergie vitale, les papillons. Après un montage d’images de journaux télévisés du monde entier, le message est clair : nous avons été choisis pour sauver le monde, libérer les papillons et restaurer l’équilibre de la planète ✊ Sur l’écran, on assiste à la création de notre avatar mi-humain, mi-machine, nommé « KP143 », incarné évidemment par Katy Perry.
Des flashs traversent la salle. Au centre du signe infini, une cage futuriste s’élève. À l’intérieur, suspendue par des câbles, Katy apparaît sur « ARTIFICIAL ». Elle porte une armure bleu métallisé : c’est la parfaite héroïne de jeu vidéo 🎮 Autour, la salle explose en couleurs ultra-saturées : orange, violet, bleu électrique. L’univers me parle complètement.
À la fin de la chanson, elle disparaît au centre du ♾, et les danseurs surgissent sur l’intro de « Chained to the Rhythm », où elle les rejoint quelques secondes plus tard. Ils ressemblent à de faux ouvriers futuristes : pantalons cargo tachés, débardeurs élimés, casques-lampes qu’ils manipulent comme des projecteurs. On est définitivement dans un univers cyberpunk.
Impossible de tout décrire, tant il se passe de choses : projections vidéo, jeux de lumière, chorégraphies… Tout est pensé pour que le spectacle soit complet, et le résultat est bluffant. On sent le soin apporté à la cohérence du show, du début à la fin. Côté musique, elle chante en live et le son est excellent. La chanson, remixée, s’offre un break dance très efficace. J’entends même une nouvelle référence à Daft Punk avec « Give Life Back to Music ». Il y aura plein d’autres clins d’œil dans la soirée, et j’ai trouvé que ce souci du détail rendait le spectacle encore plus généreux !
On se retrouve plongé dans une ville-néon de nuit pour le 3e titre de la soirée : « Teary Eyes ». C’est l’une de mes chansons préférées de « Smile », peut-être même ma préférée, donc je suis ravi 😊 Encore une fois, les jeux de lumière et les chorégraphies sont superbes ! Je suis tellement absorbé par le show que j’en oublie de lancer ma vidéo pour « Dark Horse », que j’avais pourtant prévu de filmer. La réaction dans le public est incroyable ! Les écrans se teintent de rouge, saturés de messages d’alerte et d’un compte à rebours menaçant. C’est l’un des titres qui a déclenché le plus de ferveur dans la salle : vous pourrez le retrouver en vidéo sur ma chaîne YouTube. À la fin de la chanson, les lumières s’éteignent. Le signe infini s’illumine d’un rouge intense, et la scène se rallume par microflashs, révélant Katy et ses danseurs par intermittence comme dans un tableau vivant. L’effet est court mais saisissant. J’ai adoré ce premier acte, tout était simplement parfait.
Premier interlude de la soirée : transition vers le deuxième niveau du jeu. KP143 doit choisir le prochain univers afin de récupérer un fragment d’énergie, nécessaire pour vaincre le boss final. C’est le niveau « WOMAN’S WORLD » qui est sélectionné, et il s’ouvre donc avec la chanson éponyme. Sur scène, les danseurs amènent de grandes structures métalliques qu’ils empilent pour former une sorte d’échafaudage urbain. Au centre du signe infini, une trappe s’ouvre et révèle une immense structure gonflable : Atlas, le titan portant le monde sur ses épaules, ici réinventé sous les traits d’une femme. Une sphère-cage descend alors et vient se poser sur son dos, donnant à l’ensemble une image symbolique forte 🙌
Katy apparaît au bout de l’avancée de la scène. Elle porte une tenue sable/vert pâle, recouverte de strass. « WOMAN’S WORLD » n’est définitivement pas la chanson que je préfère de son dernier album, mais en live ça fonctionne bien. Avec tout ce qui se passe autour, on en oublie à quel point le titre est mauvais 😂 Elle enchaîne rapidement avec « California Gurls », qui pioche dans un sample des 90’s que je n’ai pas réussi à retrouver (j’éditerai l’article si ça me revient). Katy et les danseurs évoluent sur l’échafaudage : ce n’est pas toujours très gracieux, mais elle désamorce d’elle-même avec un « You gotta know that I’m 40 years old! ». L’ambiance est excellente et elle sait parfaitement comment aller chercher le public.
Suit une pléiade de tubes : « Teenage Dream », « Hot n Cold » et « Last Friday Night », qu’elle lance en secouant ses fesses sur les « T.G.I.F. » repris en boucle par les spectateurs. Au milieu de la chanson, un danseur attrape un téléphone dans la fosse : Katy en profite pour faire un selfie avant de rendre l’appareil à son propriétaire. Elle prend quelques minutes pour échanger avec les spectateurs, et lâche que nous sommes « beaucoup plus bruyants qu’à New York », de quoi exciter encore plus le public ! Elle nous souhaite la bienvenue, rappelle qu’elle n’avait pas tourné depuis huit ans, et taquine les plus jeunes en lâchant : « You don’t even know me! I’m not Dua Lipa! ». C’est drôle, spontané, je la trouve bluffante de naturel ! 😍
Elle annonce qu’on va parcourir toute sa discographie, « il y en aura pour tout le monde », et entonne même un court extrait de « Peacock » pour chauffer la salle avant d’attaquer « I Kissed A Girl ». Elle la dédie explicitement à la communauté LGBT qui l’a soutenue depuis ses débuts, et l’a ouvert de nouvelles perspectives.
Elle grimpe dans la sphère métallique posée sur la statue d’Atlas qui s’élève dans les airs. Suspendue au-dessus du public dans cette planète-cage, elle domine toute la salle. Autour d’elle, des danseurs s’agrippent aux barres tandis qu’un autre se balance au bout d’un harnais. L’ensemble prend des allures de numéro de cirque aérien, digne du Cirque du Soleil. Cela faisait longtemps que je n’avais pas vu un show pop d’une telle ampleur, et c’est franchement jubilatoire 🤩 La version de « I Kissed A Girl » s’offre même un remix survitaminé qui matche hyper bien avec l’énergie sur scène.
Il est temps de passer au tableau suivant : « NIRVANA », qui démarre avec la chanson du même nom tirée de « 143 ». J’adore ce titre !! D’immenses colonnes torsadées descendent du plafond et se révèlent être des fleurs géantes, comme tout droit sorties de l’univers d’Avatar. C’est un nouveau numéro de voltige qui s’offre à nous. Suspendue par un câble, Katy Perry enchaîne les figures aériennes aux quatre coins de la salle. Ce n’est pas toujours très gracieux, mais ça reste un tableau impressionnant et sans doute un défi énorme pour elle. Elle n’est pas acrobate, après tout 🤷♂️ J’ai d’ailleurs posté une courte vidéo sur mes réseaux si vous voulez un aperçu. J’ai adoré ce passage. Elle porte un nouveau costume : une robe blanche courte, presque comme une dentelle futuriste. À un moment, elle vient se poser juste devant mon bloc avant de repartir d’un salto arrière jusqu’à la scène principale.
Elle enchaîne ensuite avec « CRUSH », un autre morceau de « 143 » que j’adore encore plus maintenant, car elle y glisse un extrait de « Crush » de Jennifer Paige, souvenir inoubliable pour les millennials comme moi 🥰 Puis vient « I’M HIS, HE’S MINE », le premier titre que je trouve vraiment moyen, que ce soit sur la mise en scène ou l’énergie générale. À mes yeux, il aurait mérité d’être remplacé par l’iconique « Bon Appétit » qui manque cruellement à la setlist, et je ne dis pas ça uniquement parce que c’est mon titre préféré !!
Le tableau se conclut sur une version remixée à la sauce 90’s de « Wide Awake ». Pendant que les danseurs offrent un numéro aérien, Katy parcourt la scène de long en large : elle a l’air de s’éclater à fond, et son plaisir est hyper communicatif. J’ai trouvé que c’était un chouette moment !
Avec les cœurs collectés dans les deux premiers niveaux, on débloque un niveau bonus : un album est sélectionné et le public doit choisir deux chansons parmi une liste pour qu’elle les interprète sur scène. Pour la tournée nord-américaine, c’est l’album « Teenage Dream » qui est mis à l’honneur, et forcément, la réaction dans la salle est énorme. Un QR code apparaît à l’écran, mais comme plus de 15 000 personnes essaient de se connecter en même temps, impossible d’accéder au site !! 😬 En plus, on a à peine 2-3 minutes pour voter ! J’arrive malgré tout à me connecter et découvre qu’on a le choix entre : « Pearl », « Not Like the Movies » et « The One That Got Away ».
Katy réapparaît alors au centre de la scène, dans une nouvelle tenue inspirée de l’esthétique « Teenage Dream » : une mini-robe moulante translucide décorée de bonbons nacrés en relief sur la poitrine et les hanches, complétée par des bottes roses en barbe à papa qui donnent une touche sucrée à l’ensemble. Elle demande si tout le monde a pu voter. Les fans devant elle répondent que non à cause de la connexion, alors elle demande : « Qu’est-ce que vous auriez choisi ?! ». Le public hurle « The One That Got Away » évidemment. En attendant le résultat officiel, elle improvise de petits bouts d’anciens morceaux : « Fingerprints », « Electric » dont elle ne se souvient plus des paroles, et « Hackensack », qu’elle avait déjà repris par le passé. Quand les résultats du vote tombent, ce sont « Pearl » et « The One That Got Away », sans surprise, qui l’emportent.
Elle présente ensuite ses musiciens, dont deux la rejoignent au centre du signe infini. Un spectateur lui demande un morceau de ses bottes en barbe à papa : elle se plie assez facilement à la requête, arrache un morceau et le lui tend. Je doute que ce soit de la vraie barbe à papa, mais maintenant j’ai envie de savoir 😆 Elle chante ensuite « Pearl » en version acoustique, avant d’annoncer qu’il est temps de faire monter des fans sur scène. Et là, l’hystérie est totale…
Là où la plupart des artistes se contentent de prendre les premières personnes qui leur tombent sous la main, Katy prend le temps de sélectionner des gens dans toutes les sections, même les plus hautes ! Elle passe près de dix minutes à faire son marché ! Elle invite trois jeunes filles, et un jeune homme déguisé en vache (il est comptable 😅). Elle ne comprend d’ailleurs pas la référence et lui demande : il s’agit d’un hommage à l’une des tenues qu’elle a porté sur American Idol !! Elle se met à quatre pattes avec lui, imite les bruits de vache : tout le monde est mort de rire !
Ce qui ressort de toute cette séquence, c’est qu’elle est incroyablement attentive. Elle prend le temps avec chacun, elle crée une vraie connivence avec ses invités sans pour autant oublier le reste de la salle. J’ai vu beaucoup de concerts, beaucoup d’artistes faire monter des gens sur scène, mais jamais avec autant de générosité et de dévouement. Elle les invite ensuite à l’accompagner sur « The One That Got Away », un très joli moment que vous pouvez retrouver en vidéo sur ma chaîne. À la fin, elle raccompagne elle-même les fans choisis hors de la scène, en s’assurant que la plus jeune retrouve bien sa mère. Ce segment est un 10/10 : drôle, humain, sincère, elle a été parfaite 💯 Elle enchaîne avec une dédicace spéciale à toutes les mamans de la salle, en interprétant « ALL THE LOVE ». Elle commence en acoustique avant de basculer sur la version originale, perchée sur une tour qui s’élève devant nous. Pendant ce temps, de petits cœurs lumineux descendent au-dessus d’elle. C’est simple, adorable, et comme j’adore cette chanson, je suis super content !
La section se termine et il semble que nous ayons accumulé assez de pouvoir pour affronter le boss final 😱 Il apparaît très vite : une sorte de démon-machine cyberpunk, au visage verdâtre et aux yeux incandescents, traversé de tuyaux métalliques noirs qui s’agitent comme des tentacules. La tension monte dans la salle. Les danseurs débarquent en samouraïs futuristes, dans des costumes sombres et moulants, avec des excroissances pointues qui remplacent leurs bras et leur donnent une allure monstrueuse. Ils avancent en bloc, corps pliés, gestes saccadés, incarnant l’armée ennemie. « E.T. » démarre, et c’est le boss lui-même qui entonne le premier couplet avec une voix trafiquée de machine.
Katy surgit alors au centre de la scène, en armure bardée de circuits imprimés, transformée en véritable androïde. Elle manie un sabre laser et affronte ses ennemis. Les tuyaux du monstre envahissent la scène, mais Katy les combat un à un. Le monstre disparaît… mais, est-il vraiment vaincu ? Ce tableau est l’un des plus spectaculaires de la soirée, j’ai trouvé la mise en scène exceptionnelle ! Elle enchaîne avec « Part of Me », ma chanson obsession du moment. L’hystérie dans la salle me confirme que je ne suis pas le seul à adorer ce titre ! Le morceau est remixé avec un extrait de « The Power » de Snap, et vous pouvez retrouver la vidéo un peu plus loin dans cet article.
Puis vient la confrontation finale sur « Rise ». Si vous connaissez Final Fantasy VII et le personnage de Barret, imaginez un bras-canon : c’est exactement le même accessoire que Katy récupère pour achever le combat. Elle s’approche de l’écran géant, tire, et aussitôt des explosions jaillissent. L’écran s’embrase, comme s’il prenait feu sous nos yeux. L’ennemi est vaincu, la bataille est terminée. Ce segment est l’un des plus incroyables du spectacle. Il faut aimer l’univers sci-fi pour y adhérer pleinement, mais la mise en scène est impeccable, et visuellement c’est splendide.
On approche de la fin du concert. Dans la dernière transition, après que KP143 a vaincu l’entité artificielle maléfique, on découvre la vérité : les papillons, source d’énergie de la planète, étaient enfermés dans un laboratoire pour qu’on leur vole leur pouvoir. Katy les libère, la planète renaît et la vie peut reprendre son cours.
La trappe au centre de la scène s’ouvre et dévoile un immense papillon flottant, un peu grisâtre, il faut le dire, que Katy chevauche en chantant « Roar ». Encore un numéro de voltige, mais on adore 😂 Elle porte un top rouge métallisé incrusté de pierres, assorti à des cuissardes argentées. Je n’ai jamais trop aimé cette chanson, mais ici ça passe plutôt bien, surtout avec la mise en scène aérienne. Elle enchaîne avec une version remixée de « Daisies », bien plus sympa que l’originale, puis prend le temps de présenter ses danseurs. L’ambiance est excellente ! Vient ensuite « LIFETIMES », qui fonctionne à merveille : la chanson gagne en intensité sur scène ! Les écrans filment le public en pleine fête dans la fosse. Il y a même un break un peu ridicule où Katy lâche : « I’m not a dancer but I can shuffle! ».
Le show se conclut sur « Firework », avec une ambiance de feu dans la salle. J’ai adoré le passage où les danseurs se mettent à courir d’un bout à l’autre du signe infini en se croisant au milieu avec une synchro parfaite, sans jamais se bousculer. Ce sens du détail, présent jusqu’au bout, a vraiment fait la différence toute la soirée. Évidemment, l’explosion de confettis est au rendez-vous, avant que Katy ne disparaisse au centre du signe infini comme elle était apparue. Dernière surprise : une vidéo post-final où on la voit retirer son casque de réalité virtuelle et dire simplement « Good game, well played! ». On quitte la salle sur un remix de « Firework ».
Je pense que vous l’avez compris au fil de cet article : j’ai adoré le concert 🤩 J’ai trouvé ça génial du début à la fin, et ça ne m’était pas arrivé depuis longtemps. Les shows pop avec un vrai fil conducteur du début à la fin se font rares. Celui-ci était bruyant, spectaculaire, avec de la voltige, des chorégraphies, des jeux de lumières incroyables et pleins de clins d’œil aux années 90. Franchement, je lui mets 10/10. La setlist était équilibrée, avec un mélange réussi entre les tubes (parfois remixés, parfois dans leur version originale) et quelques nouveaux titres très bien choisis. Mon seul regret : ne pas avoir entendu « Bon Appétit », mon préféré, qui aurait parfaitement eu sa place ici 🥲
Musicalement, on entend que c’est live, et ça fait plaisir. Les musiciens sur scène apportent de la profondeur, la plupart des chansons ont été retravaillées, Katy chante en live avec les imperfections qui vont avec. Ça rend l’ensemble est hyper solide !
J’ai adoré la mise en scène. Je ne suis pas un fana de science-fiction, mais j’adore les jeux vidéo, alors forcément ça m’a parlé ! J’ai été happé dès les premières secondes et je n’ai pas décroché une minute. La scène, gigantesque, aurait pu être une fausse bonne idée, mais elle est exploitée à la perfection : il s’y passe toujours quelque chose. J’ai aimé aussi que l’écran ne soit pas un bloc unique, mais une mosaïque de petits écrans, ça crée un effet de profondeur avec les lumières derrière. On sent qu’il y a eu un vrai travail de détail : chaque tableau avait sa petite singularité. MAIS ! Ce qui m’a bluffé par-dessus tout, c’est qu’elle arrive à rester spontanée et à interagir constamment avec le public. Je m’attendais à un truc calibré au millimètre, avec deux-trois “merci” jetés au milieu. Pas du tout. Elle improvise, elle plaisante, elle répond aux gens. Et ce n’est pas calculé, j’ai vérifié sur les autres dates : elle ne dit jamais la même chose. La séquence où elle fait monter des spectateurs sur scène était hyper touchante ☺ Elle dégage une gentillesse et une authenticité qui sont rares. Honnêtement, pour une popstar de ce niveau, ce degré de dévouement au public est exceptionnel.
Et le public lui a bien rendu. Elle nous a même dit qu’on faisait plus de bruit qu’à New York – ce qui ne m’étonne pas tant que ça 😂 L’ambiance était incroyable, les gens ont chanté à tue-tête du début à la fin. Et, petite victoire personnelle, mes voisins étaient exemplaires : pas de poulet frit, pas de boissons renversées, pas de bavardages. Je te félicite New Jersey 👏 Je retournerai la voir, c’est certain. J’ai adoré sa façon d’être sur scène, et ça me rend presque triste pour elle de voir l’année compliquée qu’elle traverse. Les médias ne lui laissent rien passer, alors que sur scène, elle propose un spectacle d’une qualité impressionnante. J’espère que vous vous en rendrez compte quand elle passera en France dans quelques mois, puisqu’elle sera à Paris en octobre et novembre. Allez-y, ça vaut vraiment le détour 👌
On termine avec les photos et vidéos du show. J’attends votre avis avec impatience, alors rendez-vous sur Facebook, X et Instagram pour laisser vos commentaires !
Setlist : ARTIFICIAL / Chained to the Rhythm / Teary Eyes / Dark Horse / WOMAN’S WORLD / California Gurls / Teenage Dream / Hot n Cold / Last Friday Night (T.G.I.F.) / Peacock (Extrait) I Kissed a Girl / NIRVANA / CRUSH / I’M HIS, HE’S MINE / Wide Awake / Fingerprints (Extrait) / Electric (Extrait) / Hackensack (Fountains of Wayne cover) (Extrait) / Pearl / The One That Got Away / ALL THE LOVE / E.T. / Part of Me / Rise / Roar / Daisies / LIFETIMES / Firework
Également disponible en vidéo sur YouTube : Dark Horse – The One ThatGot Away – Part of Me
